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En remontant le cours du Saint-Laurent, il y a 411 ans, Samuel-de-Champlain a mis les pieds à Kébek, « là où le fleuve se rétrécit » en langue algonquine. Il y a fondé une ville qui est devenue une référence historique en Amérique du Nord. Et on ne peut parler de l’histoire de Québec sans évoquer la présence des premières nations sur le territoire et la richesse de leur patrimoine. C’est pour souligner cette richesse que l’Hôtel Château Laurier Québec accueille l’exposition « Sur la route des Pow-Wow : à la découverte des nations autochtones du Québec ». Présentée jusqu’au 3 septembre dans le Foyer de la salle de bal de l’hôtel, l’exposition nous présente de magnifiques œuvres du photographe Stéphane Audet. Selon ce dernier, cette tournée sur les grands pow-wow et festivals autochtones du Québec à l’été 2018 a été un point marquant dans sa carrière de photographe et une révélation sur le plan personnel et humain. Aucun tarif d’admission, la visite de l’exposition est gratuite. Alors pas d’excuse pour ne pas y faire un tour lors de votre prochain passage dans le Vieux-Québec.

Nous avons voulu, en présentant cette exposition, témoigner de notre attachement à la culture des nations autochtones du Québec. Et pour vous permettre de la découvrir un peu plus, je vous propose un parcours thématique, du cœur du Vieux-Québec jusqu’à Wendake, le cœur de la nation Huron Wendat.

L’Hôtel du Parlement du Québec, situé à quelques pas de l’Hôtel Château Laurier Québec, a fait l’objet de travaux majeurs au cours des dernières années. Accessible depuis peu, on retrouve en façade et au centre de la porte d’entrée principale du bâtiment, deux monuments de bronze qui témoignent de la présence autochtone au Québec. À cause du monument en bronze qui la décore, l’entrée principale de l’hôtel du Parlement a été pendant longtemps désignée comme étant la « Porte du Sauvage ». Voulant sans doute se distinguer d’un passé colonial peu glorieux et respectueux de l’héritage des nations autochtones, le Conseil exécutif du gouvernement a changé cette appellation en 1979 et lui a donné le nom officiel de « Porte de l’Amérindien ». Toutefois, l’Assemblée nationale décida plus tard d’utiliser plutôt le nom de « Porte de la Famille-Amérindienne », en référence à l’une des deux sculptures. Même si ces deux œuvres d’art témoignent d’une autre époque, elles n’en faisaient pas moins une place significative aux premières nations et comme le soulignait l’historien Gaston Deschênes, « c’est le seul parlement au Canada qui donne autant de place aux Amérindiens ».

Pour plonger au cœur de l’histoire des premières nations, je vous propose un incontournable à Québec, l’exposition « C’est notre histoire » au Musée de la civilisation. Celle-ci propose une rencontre et une réflexion profonde sur l’histoire et la culture des autochtones qui vivent aujourd’hui au Québec. En la visitant, on comprend mieux la vision du monde des autochtones et les relations qu’ils entretiennent avec celui-ci. Plus de 400 objets, de même que des projections sur grand écran, des documents audiovisuels et des œuvres artistiques nous permettent de mieux saisir et comprendre cette vision. Tous ces documents, combinés à l’aménagement de la salle d’exposition, contribuent à exprimer les contrastes de la vie des autochtones, attachés à leur passé et traditions, mais parfaitement intégrés à un mode de vie plus contemporain.

Et en ressortant de cette exposition et du Musée de la civilisation, pourquoi pas découvrir un peu plus la production artistique et artisanale des premières nations dans des boutiques du Vieux-Québec. Au fil des rues qui serpentent le quartier historique, vous retrouverez plusieurs boutiques qui offrent des produits de l’artisanat autochtone. De celles-ci, je vous en propose deux.

La première, la Galerie d’art Inuit Brousseau, située sur la rue Saint-Louis, à quelques pas du Château Frontenac. Fondée en 1974 par Raymond Brousseau, un grand collectionneur d’art Inuit, cette galerie est une entreprise familiale reconnue depuis plus de 40 ans pour son expertise dans la vente, la promotion et la diffusion de la sculpture inuit canadienne contemporaine. Elle permet de découvrir l’une des plus grandes collections de sculptures inuit en Amérique du Nord. D’ailleurs, une partie de cette collection est exposée actuellement à l’intérieur du nouveau pavillon Pierre Lassonde du Musée national des beaux-arts du Québec.

La seconde, toujours située sur la rue Saint-Louis, la boutique Atikus. On y retrouve une collection de vêtements, dont de magnifiques bottes. Les vêtements offerts à cette boutique, confectionnés à la main par des artisans et artisanes, utilisent des méthodes ancestrales de perlage et de tissage. Tous les produits qui y sont vendus sont créés de façon traditionnelle en mettant l’accent sur la réutilisation, le non-gaspillage et le retour de bénéfices aux communautés.

Comme le souligne le site Web de la boutique, l’artisanat autochtone est en voie de disparition, parce que le salaire que l’on accorde aux artisanes est trop souvent dérisoire. Atikuss a mis sur pied un commerce équitable de la chaussure autochtone pour que les femmes puissent vivre décemment et transmettre leurs connaissances. Les Bottes de l’espoir, projet phare de la marque Atikuss, vise cet objectif. Les peaux et les fourrures employées dans leur fabrication sont issues de la chasse écoresponsable et les artisanes d’Atikuss les confectionnent à la main, et ce, dans le plus grand respect de leur tradition. La juste rémunération et la valorisation de ces artisanes permettent aujourd’hui d’intéresser les nouvelles générations à actualiser cette technique unique et mythique. 

Wendake

Évidemment, je ne peux proposer un parcours sur les traces de la culture autochtone à Québec sans une visite de Wendake. Situé à 25 kilomètres du Vieux-Québec et accessible en moins d’une demi-heure, ce site de la nation Huron-Wendat offre des points d’intérêts qui justifient largement de s’y rendre. L’accès par la route est facile, et si vous ne désirez ou ne pouvez pas utiliser votre propre véhicule pour vous y rendre, une navette dédiée est disponible du 1er juin au 13 octobre. Celle-ci part de la Maison du tourisme du 12 rue Sainte-Anne quatre fois par jour et les billets sont disponibles sur place.

Pour débuter votre exploration de Wendake, je vous propose le site traditionnel Onhoüa Chetek8e (https://www.huron-wendat.qc.ca/), une reconstitution d’un village huron. Vous pourrez vous y plonger dans les traditions et le mode de vie de la nation huronne. Et un peu plus au cœur du village, on ne peut passer à côté de l’Hôtel-Musée des premières nations. Situé dans un décor enchanteur sur la rive de la rivière Akiawenrahk (rivière Saint-Charles), cet hôtel propose une architecture et un cadre visuel d’une grande richesse. À l’hôtel, vous retrouverez le Musée Huron-Wendat où vous pourrez explorer le riche univers de cette nation. En soirée, une conteuse vous transportera au cœur des mythes et légendes. Et pour poursuivre cette aventure authentique, pourquoi ne pas passer la nuit dans la maison longue!

Wendake, c’est aussi l’occasion de découvrir la culture culinaire des premières nations. Je vous propose donc deux adresses qui valent le détour. La première, le restaurant La Traite situé dans l’Hôtel-musée. Vous y retrouverez une cuisine inspirée de la gastronomie des Premières Nations, où sont apprêtés avec finesse les fruits de la chasse, de la pêche et de la cueillette. Et pour rendre hommage à cette table raffinée, un décor tout aussi inspirant, évoquant la nature avec des matières comme le bois, la pierre et les cornes de cervidés.

La deuxième, le restaurant Sagamité, situé sur l’artère principale de Wendake, propose également une cuisine inspirée des traditions Wendat. Malheureusement, cet établissement a été la proie des flammes en décembre 2018. Mais, si on se fie au dynamisme de son propriétaire, la Sagamité devrait être en mesure d’offrir de nouveau ses plats traditionnels dans un avenir rapproché.

Et pour terminer votre découverte de Wendake, vous ne pouvez passer à côté des Chutes Kabir-Kouba, situées tous près de la Sagamité. En parcourant le sentier bordant la rivière Saint-Charles, vous pourrez admirer la chute et son canyon ainsi qu’une fresque exécutée par des artistes locaux.

L’exposition que nous présentons dans le Foyer de la salle de bal de l’hôtel vous permettra de découvrir des témoignages visuels impressionnants de la culture autochtone. Nous vous la proposons au cours de cet été, comme un point de départ d’une découverte des richesses et de l’art de vivre des nations autochtones du Québec. Alors, laissez-vous transporter dans cet univers fabuleux.

Mon coup de cœur musical : L’album Les sources de Vanessa Paradis. Son septième album est rempli de douceur et de réconfort. L’artiste livre une prestation simple et juste, sans prétention. Sa douce voix m’a charmé!

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Ça y est. Voilà l’été!

La Fête nationale du 24 juin marque officiellement l’arrivée de la belle saison au Québec! Ah, ce temps estival qui invite à flâner dans la ville. Ce temps plus lent qui convie à la rencontre.

La Fête nationale convie elle aussi à la rencontre et en tant qu’hôtelier, nous aimons les rencontres! Pourquoi ne pas aller à la rencontre de la francophonie ?

À l’Hôtel Château Laurier Québec, la Fête nationale rime avec notre fierté de la langue française et de la culture québécoise :

« Avec la Fête nationale, la fierté et l’amour de la langue française, ça s’attrape! C’est contagieux! » assure Alain Girard, président de l’Hôtel Château Laurier Québec.

À titre de premier établissement hôtelier francoresponsable des Amériques, l’Hôtel Château Laurier Québec offre à la langue française une vitrine unique dans la ville de Québec : service multilingue avec la touche francophone, ambiance musicale francophone et la présence d’œuvres d’art par des artistes francophones et francophiles. Si la francoresponsabilité anime notre équipe tout au long de l’année, la Fête nationale y ajoute une touche festive :

« Nous sommes au cœur des festivités, entre les plaines d’Abraham et la Grande-Allée. De plus, notre nouveau hall présente des portraits d’artistes québécois que l’on célèbre à chaque Fête nationale, comme Gilles Vigneault. Nous sommes très heureux de pouvoir montrer la vitalité de la culture québécoise aux gens qui nous visitent! » précise Alain Girard.

Fier partenaire de cette 185e édition de la Fête nationale, l’Hôtel Château Laurier Québec accueillera les 15 familles gagnantes du Grand Concours national organisé par le Mouvement national des Québécois et des Québécoises.

« À l’Hôtel Château Laurier Québec, la Fête nationale est pour nous l’occasion de faire connaître la ville de Québec aux visiteurs internationaux mais aussi à des Québécois qui vivent à l’extérieur de la Capitale nationale » explique avec enthousiasme Alain Girard.

D’ailleurs, il apprécie le fait que certaines des familles gagnantes du concours soient originaires de différentes régions du Québec : « C’est important pour nous que des gens de partout au Québec puissent, eux aussi, connaître et découvrir la ville de Québec. » précise-t-il.

À titre de partenaire de longue date de la Fête nationale, l’Hôtel Château Laurier Québec accueille également les artistes qui se produiront lors du Grand spectacle de la Fête nationale dans la Capitale sur les plaines d’Abraham.

Alors ça y est. Voilà la Fête nationale! Voilà l’été! Un moment bien choisi pour aller à la rencontre de la francophonie et de la culture québécoise.

Pendant la belle saison, parcourant les rues du Vieux-Québec, la rue Saint-Joseph ou encore les berges de la rivière Saint-Charles, tendez l’oreille aux mots, aux rimes, aux mélodies de la francophonie. Levez les yeux vers l’architecture québécoise riche d’histoire entrelacée de modernité. Humez et laissez vos papilles avoir envie des mets du terroir – classiques ou réinventés!

Sur ce bain de culture québécoise, l’équipe de l’Hôtel Château Laurier Québec vous souhaite une Bonne Fête nationale!

 

Grand amateur de musique, Alain Girard aime à partager ses découvertes. Pour agrémenter vos soirées d’été, il vous invite à écouter Salebarbes, groupe de musique festive cajun punk.

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Luc Villeneuve, le capteur d’images

Mon parcours professionnel dans l’industrie du tourisme m’a permis de croiser de véritables passionnés. Ce billet est donc le premier d’une série où j’aurai le plaisir de vous présenter certaines de ces personnes qui ont fait de leur amour pour leur métier et notre ville, une véritable passion. Je vous propose donc aujourd’hui de rencontrer Luc Villeneuve.

Si, au cours des dernières années, vous avez été présents sur les sites des grands événements de foule à Québec ou sur un ou l’autre des sites touristiques de notre région, vous avez peut-être déjà croisé ce sympathique photographe qui trimballe avec lui un appareillage un peu inusité. En effet, Luc s’est spécialisé dans la photo panoramique en 360o. Il utilise pour capter ses images panoramiques spectaculaires, un trépied sur lequel il fixe une perche qui peut atteindre 30 pieds, au sommet de laquelle on retrouve une tête panoramique robotisée et une caméra à haute définition. Ainsi, il peut immortaliser toute l’ambiance d’un événement ou la beauté d’un site touristique. Et les résultats sont vraiment exceptionnels: Manège militaire Voltigeurs de Québec.

Un parcours atypique

Mais avant de vous parler plus en détail de son travail de photographe, permettez-moi de vous présenter brièvement son parcours professionnel, aussi impressionnant qu’atypique. Son père lui a dit un jour « Tu ne laisseras pas ta trace en marchant dans le sentier des autres ». On peut dire qu’il a bien compris le message, car, après avoir entrepris une formation en design graphique, il a décidé qu’il fallait explorer d’autres avenues, dont la première était pour le moins assez inusitée. En effet, pendant l’été, il s’est retrouvé, au cœur du Quartier Petit-Champlain, dans un atelier artisanal de confection d’article de cuir. À l’automne, il quitte pour la Grèce afin d’aller apprendre à fabriquer des bottes auprès d’un bottier Crétois. Cent fois sur le métier comme le dit la maxime. Eh bien, Luc a su mettre en pratique ce souci du détail si cher aux artisans dans son cheminement professionnel. Sa compréhension et sa maîtrise de la technologie et de la micro-informatique ont par la suite tracé la voie à une belle carrière. Pendant plus de vingt ans, il a occupé des fonctions de haut niveau dans une entreprise qui offrait alors un service de composition typographique, de production graphique et de développement web, avant de devenir vice-président technologies chez l’un des plus importants imprimeurs du Québec. En 2010, il quitte le monde de l’imprimerie pour se consacrer uniquement à la photographie. Sa vision des médias le pousse à se spécialiser en photographies panoramiques en 360o.

Luc a un coffre à outils garni de caméras de toutes sortes, à partir de son téléphone, qu’il utilise très souvent et qui, selon lui, donne une qualité de plus en plus respectable, à de l’équipement haut de gamme pour ses projets professionnels.

Mis à part l’équipement, la connaissance de l’art photographique et la créativité sont essentiels pour livrer un message efficace. Les moindres détails : l’emplacement choisi, la météo, la lumière et l’ensoleillement, les objets ou véhicules indésirables, etc. C’est ce qui explique que pour une bonne photo, il y a souvent des heures de travail et la nécessité de savoir choisir le bon moment pour capter une scène qui sait donner un caractère magique au sujet et à l’objet de la photographie.

Ainsi, Luc, comme plusieurs de ses confrères, doit souvent se lever très tôt le matin pour obtenir les conditions optimales. Par contre, il n’est pas toujours possible de contrôler toutes les variables. C’est le cas particulièrement pour les photos prises lors d’événements. Il doit donc s’adapter à l’horaire, aux lieux physiques et aux conditions météorologiques qui prévalent lors de ces événements, ce qui ajoute beaucoup à la complexité. En choisissant de travailler en mode panoramique, il s’assure de capter l’ambiance et la performance des athlètes ou des artistes de la scène. En faisant cela, le fruit de son travail devient particulièrement intéressant pour promouvoir une destination, ses sites d’intérêt et les activités qui s’y tiennent.

Le sens du détail et la capacité d’analyse dont il a fait preuve au cours de sa carrière, de ses débuts comme artisan jusqu’au moment où il a su résoudre des problèmes technologiques complexes pour le bénéfice des entreprises où il a œuvré, le servent énormément dans la production d’images panoramiques d’une qualité irréprochable. Il aime souvent nous donner en exemple ce panorama, de Québec qui a été photographié à partir de Lévis. Ce panorama, de près de 5 milliards de pixels, composé de 320 photos, donne la précision qu’il recherchait. Ainsi, que vous regardiez l’ensemble du panorama ou que vous décidiez de choisir un détail de maçonnerie du Château Frontenac en zoomant au maximum, vous serez à même de constater que le plus infime détail de cette photo est d’une très grande netteté.

Chacun des panoramas de Luc est constitué de plusieurs photos qui, une fois assemblées, constitue une image globale. Dans le cas du panorama Québec de Lévis, certains éléments, comme les nuages, bougent, ce qui requiert beaucoup d’attention pour conserver un parfait réalisme.

Un ambassadeur pour Québec

Le talent et la qualité du travail de photographe de Luc Villeneuve ont donc permis de présenter Québec sous ses meilleurs traits, devenant par le fait même une illustration des plus éloquentes de ce que notre ville et sa région ont à offrir aux visiteurs. Mais sa contribution au développement de notre industrie touristique ne s’est pas arrêtée là. En 2013, il est en effet devenu membre du conseil d’administration de l’IVRPA, une association internationale de photographes et de professionnels de la réalité virtuelle. Cette association tient son congrès annuel dans des villes qui ont une très grande attractivité touristique comme en font foi celles qui ont été retenues au fil des ans dont Las Vegas, Prague, Vienne et Tokyo, pour n’en citer que quelques-unes. Dès qu’il fut membre de cette association, Luc s’est dit que Québec serait une destination parfaite pour y tenir sa conférence annuelle. Elle est belle et photogénique. En passionné qu’il est, il a donc entrepris une véritable entreprise de séduction pour convaincre le conseil d’administration de l’IVRPA de tenir son congrès annuel de 2016 à Québec. Les retombées économiques et touristiques d’un événement d’affaires rassemblant plusieurs centaines de participants sont énormes. Mais pour un congrès regroupant d’aussi bons photographes, l’impact est encore plus considérable. Pendant plusieurs jours, ceux-ci ont immortalisé Québec et sa région et ont diffusé leur travail par la suite sur de nombreux sites Internet et dans les médias sociaux. Pour moi, en attirant ce congrès à Québec et en contribuant à en faire un véritable succès, il a, pour reprendre une image sportive, « frappé tout un coup de circuit ».

Je vous partage, depuis le début de ce billet, toute mon admiration pour ce personnage. Vous prenez le talent et le travail, vous l’assaisonnez de passion et d’un goût prononcé pour les belles et bonnes choses, et ça donne une personne comme Luc Villeneuve. Mais les mots, même s’ils sont bien choisis, arrivent difficilement à traduire toute la passion, la simplicité et la sympathie qu’il dégage dès qu’on a la chance de le rencontrer et d’échanger avec lui. Bravo Luc! La Ville de Québec peut être fière de te compter parmi ses citoyens.

Mon coup de cœur musical : L’album Solo piano III de Chilly Gonzales. Le pianiste offre un nouveau genre sans complètement changer l’âme de sa série. Ce disque est vraiment très beau et bien exécuté.

Clavardage